Pour tant de maux…
par Pascal Rebetez
En guise d’épitaphe pour les flambeurs banqueroutiers, ce petit poème d'autrefois :
Pour tant de maux,
Pour tant de larmes, assez de mots :
Des armes.
Une balle vous tue ;
Une balle vous sauve.
C’est à vous de choisir
La balle qu’il vous faut
Pour vivre ou pour mourir.
Robert Ganzo, Tracts, 1942
Commentaires
Bien cordialement à vous
Manuel Vich-Ganzo
(Petit fils du poète)